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Tintoretto et la Biennale


27 mai. Comme tous les deux ans depuis plus de cent ans, la Biennale de Venise ouvre ses portes au public dans quelques jours, aux Giardini et dans l'Arsenale. Elle a pour titre et programme général : ILLUMInazioni – ILLUMInations (du 4 juin au 27 novembre). Ce thème lui a été attribué par la curatrice, Bice Curiger. Malgré mon peu de goût pour l'art moderne, il peut y avoir parfois des manifestations remarquables, telle, il y a deux ans, l'animation audio-visuelle réalisée par le cinéaste Peter Greenaway, des Noces de Cana, de Paolo Veronese, dans le réfectoire du monastère de San Giorgio. Peter Greenaway a eu l'idée originale d'animer la fête représentée dans cette immense toile en faisant parler et interagir les convives, qui sont tous ou presque des personnages connus de Venise au 16e siècle. Avec les projections sur les murs latéraux, cette réalisation était vraiment saisissante. C'était ludique, bien pensé, intelligemment mis en scène, mais cela invitait à la réflexion sur le statut de l'art de nos jours. Faut-il que l'art ne soit ainsi que performance, qu'ironie, que jeu ? Grave question que je reprendrai...

Cette année, un détail dans la présentation de la Biennale m'a surpris. Il est caché dans le texte de bienvenue du président de la Biennale, Paolo Baratta, qui écrit :
“The Biennale is like a wind machine. Every two years, it shakes the forest, unveils hidden truths, gives new strength and light to new sprouts, showing older trunks and persisting branches from a different perspective (this year trunks are really old considering the intention expressed by the curator to open with Tintoretto)”
 La Biennale è come una macchina del vento. Ogni due anni, scuote la foresta, scopre verità nascoste, dà forza e luce a nuovi virgulti, mentre pone in diversa prospettiva i rami conosciuti e i tronchi antichi (e quest’anno i tronchi saranno davvero antichi vista l’intenzione della curatrice di aprire con Tintoretto).
Vous avez bien lu : l'intention de la curatrice est d'ouvrir avec Tintoretto. Qu'est-ce à dire?

En attendant de l'apprendre, la découverte de Tintoretto à Venise vaut le voyage. C'est l'un de ces itinéraires qui font le plaisir du marcheur et de l'amateur d'art. Tintoretto a peint plusieurs fois la Cène. Ses tableaux sont dans les églises vénitiennes. J'y reviendrai.

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Sebastian
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