Dans L'étendue musicale de Marcellin Pleynet, je note ces quelques phrases :
Venise, pourvu qu'on sache la considérer dans sa totalité et dans son infinité, c'est-à-dire dans son unité foncière, est en effet comme le monde éternel, sans commencement ni fin.
Venise est par essence cause de soi.
À Venise, ma première leçon de présence à moi-même et à l'existence...
(p. 55, L'Infini, no 123)
Venise, pourvu qu'on sache la considérer dans sa totalité et dans son infinité, c'est-à-dire dans son unité foncière, est en effet comme le monde éternel, sans commencement ni fin.
Venise est par essence cause de soi.
À Venise, ma première leçon de présence à moi-même et à l'existence...
(p. 55, L'Infini, no 123)
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