Extrait de la presse française aujourd'hui 30 août 2012 :
Le Teatrino. Ce théâtre de verdure, datant de 1857 et couvert en 1961, avait été acquis en même temps que le Palazzo Grassi voisin par le milliardaire français François Pinault en 2005.
Abandonnés depuis des décennies, ses 1000 m² seront transformés par Tadao Ando pour offrir une salle de 230 places qui accueillera des conférences et des projections, ainsi qu’un atrium destiné à des performances. «C’est un espace qui nous manquait», a confié François Pinault qui a déjà rénové le Palazzo Grassi ainsi que la Punta Dogana (Pointe de la Douane), avec Tadao Ando pour exposer sa collection d’art contemporain.
Le Teatrino devrait rouvrir en juin 2013. Le chantier est évalué à «quelques millions d’euros».
Parfois les caprices de milliardaire sont utiles. On peut imaginer les édifices de Venise rénovés de cette même façon, ses canaux entretenus, sa lagune maintenue navigable... Ainsi Venise deviendrait encore plus une ville d'art, envahie par des millions de touristes. Mais on comprend l'agacement des Vénitiens...
Le Teatrino. Ce théâtre de verdure, datant de 1857 et couvert en 1961, avait été acquis en même temps que le Palazzo Grassi voisin par le milliardaire français François Pinault en 2005.
Abandonnés depuis des décennies, ses 1000 m² seront transformés par Tadao Ando pour offrir une salle de 230 places qui accueillera des conférences et des projections, ainsi qu’un atrium destiné à des performances. «C’est un espace qui nous manquait», a confié François Pinault qui a déjà rénové le Palazzo Grassi ainsi que la Punta Dogana (Pointe de la Douane), avec Tadao Ando pour exposer sa collection d’art contemporain.
Le Teatrino devrait rouvrir en juin 2013. Le chantier est évalué à «quelques millions d’euros».
Parfois les caprices de milliardaire sont utiles. On peut imaginer les édifices de Venise rénovés de cette même façon, ses canaux entretenus, sa lagune maintenue navigable... Ainsi Venise deviendrait encore plus une ville d'art, envahie par des millions de touristes. Mais on comprend l'agacement des Vénitiens...
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